Chaque enfant est unique
Tous les petits élèves qui auront le plaisir de croiser votre chemin cette année sont, sans aucun doute, très différents. Dans le livre « Blanche et Léa Rose » de Marie-Ève Piché, Joannie Roussel et Jade Lachine, les deux petites héroïnes apprennent à s’affirmer avec courage pour favoriser l’intégration et l’unicité de tous. D’ailleurs, dans les fiches pédagogiques gratuites sur le site internet juste ici, nous vous invitons à « construire » un château de sable grâce à une murale collective dans laquelle chacun de vos petits protégés pourra dessiner ce qui le rend unique. Ainsi, en plaçant les œuvres une à côté de l’autre, vous aurez une magnifique vue d’ensemble de votre groupe. Chacun, à sa manière, fait partie du beau château que vous créerez ensemble !
Apprendre à se connaître en bougeant : mission possible
En début d’année, au retour des vacances, il n’est pas rare que les petits ressentent un grand besoin de bouger, n’est-ce pas ? L’album « Le Casse-Prout » de Claudia Turmel et Alice Lemelin est donc parfait pour combiner plaisir de la lecture et besoin de se lever. L’histoire raconte comment un petit garçon a doucement ouvert son cœur à la nouvelle amoureuse de son papa. Qui dit « nouvelle personne » dit également « apprendre à se connaître »! Dans les fiches pédagogiques gratuites disponibles sur le site internet, vous trouverez donc un jeu de connaissance clé en main dans lequel les enfants doivent changer de place rapidement si la caractéristique énumérée s’applique à eux. Pour rire, bouger et s’apprivoiser, c’est par ici !
Création d’un sentiment d’appartenance
Certains enseignants du 2e et du 3e cycle sont des amateurs fous de l’univers d’Harry Potter. C’est d’ailleurs le cas de notre auteure Marie-Pier Meunier, également enseignante, qui s’est inspirée par le célèbre sorcier pour inventer un univers bien à elle, celui d’Ari Pothier. La jeune héroïne fréquente pour la première fois un camp de magie. Son séjour sera ponctué de nouvelles relations, d’apprentissages sur la magie ainsi que de découvertes mystérieuses entourant la disparition de son père il y a plusieurs années. En classe, à la suite de la lecture de ce délicieux roman, les enseignants pourraient proposer d’inventer, à l’image du MagiCamp, des nouvelles maisons qui représentent les intérêts du groupe. Vous pourriez également utiliser ces mêmes maisons comme base d’un système de récompenses. Une excellente manière de développer un sentiment d’appartenance (envers la classe… et envers la lecture !).
Quel serait ton nom de meute ?
Dans son roman jeunesse « La légende du Wendigo », Amélie Bibeau nous plonge dans un univers mystérieux sur la thématique des scouts. Tous les personnages de l’histoire font donc partie de différentes meutes. Pourquoi ne pas proposer à votre groupe de constituer, à l’image du roman, des petits groupes dans votre classe. Chaque nouvelle meute pourrait ainsi se trouver un nom thématique et expliquer celui-ci. Ou encore, on pourrait inviter les élèves à choisir parmi les meutes existantes présentées dans le roman. Ainsi, peu importe l’option que vous choisissez, vous apprenez à connaître doucement les « jeunes scouts » de votre groupe et ils expriment des éléments de leur personnalité tout en prenant goût à la lecture !
]]>Premièrement, avant de commencer à parler de tes livres, j’aimerais savoir, quand est-ce que tu as commencé à écrire ?
Je crois que je devais avoir 4 ans, je recopiais mes livres. Je voulais apprendre à lire et à écrire. Mais j’ai vraiment commencé à écrire à 10 ans. On m’a donné un journal intime et, à partir de cette journée, j’écrivais tous les jours. Au total, j’ai 21 journaux. En 2010, j’ai cessé d’écrire dedans, puisque j’ai commencé à écrire des romans et ils ont été publiés. Lili-la-Lune est le premier livre que j’ai écrit et qui a été publié chez Vent d’ouest. J’ai revu mes journaux justement pour m’inspirer.
Parlons justement de tes romans Lili-la-Lune.
OUF, par où commencer ? Ça part de loin. Premièrement, cette série est inspirée par des personnes qui ont fait partie de ma vie. Mon ancien amoureux qui est décédé lorsque j’étais plus jeune, entre autres. Un soir, j’ai eu un souper de filles et lors de nos discussions, on s’est rapidement rendu compte qu’on avait presque toutes passé par des agressions sexuelles, peu importe le niveau. C’est là que je me suis aperçu qu’on n’en parlait pas encore assez, qu’on banalisait même souvent certains types d’agression. Une agression reste une agression. Peu importe le niveau. Que ce soit comme dans ma série, ce que Lili vit, ou une agression complète. Je réalisais à ce moment-là que ce n’était pas facile de trouver des livres qui parlaient de familles plus normales et plus proches de la réalité. C’étaient surtout des livres avec de la drogue, des parents absents, de l’alcool, des délinquants… On ne parlait pas de la sexualité. J’ai alors fait énormément de recherches. Les réactions que vit Lili à la suite de son agression sont des réactions post-traumatiques qui arrivent réellement aux victimes. Que ce soient des troubles alimentaires, la haine envers soi, la perte d’estime personnelle… et plus.
Une jeune fille est déjà venue me voir pour me dire que mes livres lui avaient sauvé la vie. C’est le genre de témoignage qui touche vraiment beaucoup.
Parlons maintenant de ton autre série, Derrière le masque.
C’est une série que j’ai écrite avec l’aide de mon chum, ici et là, parce qu’il connaît très bien le monde de la lutte. C’est l’histoire d’une fille (Alicia) qui a vu un lutteur pendant un gala et elle l’a trouvé tellement hot qu’elle s’est inscrite pour faire de la lutte et apprendre à connaître le gars. Lui, il tient à son anonymat, alors il garde toujours son masque lorsqu’elle vient s’entraîner. Il a peur de le retirer et qu’elle soit déçue de ce qu’elle va découvrir. Pas parce qu’il est laid, mais parce qu’elle verrait qui il est vraiment et qu’en fait, ils se connaissent…
Ils portent tous les deux des masques, dans un certain sens. Elle reste elle-même lorsqu’il porte son masque et qu’ils sont seuls. Elle devient une tout autre personne
]]>Qu’est-ce qui t’a poussé à accepter d’écrire tes superbes albums Cherche et trouve avec Simon avec les éditions Victor et Anaïs ?
Depuis plusieurs années, j’ai envie d’aider les enfants à déployer leur empathie. Je le fais par le truchement de mes histoires, mais avec ce projet proposé par Christian Bougie, ça incarne plus que jamais cet effort de se projeter dans la vie de l’autre. J’aime que l’enfant développe sa vigilance pour repérer les émotions des gens qui l’entourent. Ça lui permet d’aiguiser son œil, en plus d’apprendre à formuler les propres sentiments qu’il vit lui-même.
Est-ce que tu sais d’avance sur quel thème portera ton prochain album « cherche et trouve » ?
Après avoir passé une journée entière dans une école primaire de 2e année (Volume 1), puis avoir festoyé en famille dans un chalet en plein hiver (Volume 2), j’ai envie de retrouver les camps de vacances de mon enfance. Ce sera un troisième volume rempli de défis, de cris de joie, de chansons estivales et de feux de camp. Et ça sentira la crème solaire à la noix de coco à plein nez ! J’ai déjà été moniteur de camp de jour, d’ailleurs. Mon nom était Ouistiti, et c’est celui que je prête à mon alter ego dans ce livre.
Comment trouves-tu ton inspiration pour tes albums ?
Tout ce qui m’entoure m’inspire. J’aime voir un artiste comme une éponge : sa tâche est d’ouvrir grand les yeux, d’absorber ce qui l’entoure, et de restituer tout ça en histoire. Pour mes albums, j’essaie de réactiver des souvenirs en dormance. J’ai la chance d’avoir une excellente mémoire de mes premières années, donc je retrouve aisément les grands vertiges et les grands délires de mon enfance.
À quand date ta dernière page blanche ?
Par chance, je ne souffre jamais de ce syndrome, puisque tout est susceptible de m’inspirer. En revanche, il m’arrive souvent de manquer de temps ou d’énergie pour mettre sur papier tout ce que j’ai envie d’écrire.
Comment trouves-tu les prénoms de tes personnages ?
Lors de mes premiers écrits, j’optais pour les prénoms que je trouvais beaux. Ceux que j’aurais donnés à mes enfants : Arthur, Léon, Elliot, Ludo, Thérèse, Violette, Flavie, Florence… Mais au bout d’une soixantaine de livres, vient le moment où tu ne sais plus quels noms utiliser pour te renouveler. Or, depuis peu, je note dans un cahier tous les prénoms que j’apprécie. Quand il est temps de créer un nouveau protagoniste, je m’y plonge souvent, ou encore je navigue dans les entrailles de mon Facebook à la recherche d’un prénom inédit qui évoque bien le personnage que j’imagine.
En dehors du prochain Cherche et trouve avec Simon, as-tu d’autres projets d’écriture ?
Après Six degrés, série jeunesse dont les deux premières saisons sont disponibles sur tou.tv extra, j’écris actuellement une nouvelle série télé – pour adultes, celle-là – qui sera tournée prochainement. Et ce printemps, je ferai paraître un roman graphique pour les jeunes ados intitulé Déjeuner avec papa, publié aux Éditions de la Bagnole. Et finalement, j’essaie d’avancer dans un projet de roman, mais cette année, l’écriture télévisuelle est très chronophage dans ma vie.
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Je suis née à Montréal, plus précisément aux limites de Centre-Sud et d’Hochelaga-Maisonneuve, en 1976; j’ai été l’épreuve olympique de ma mère, car je suis née le lendemain de la cérémonie de clôture des Jeux de Montréal ! J’habite maintenant à La Guadeloupe, en Beauce, et j’ai trois garçons qui aujourd’hui sont âgés de 21, 18 et 11 ans. Depuis mon plus jeune âge, je me passionne pour la lecture et pour l’écriture, j’ai toujours adoré écrire; ce n’est pas pour rien que je suis devenue rédactrice ! De mes écrits qui ont été publiés dans le cadre de concours littéraires à mes textes dans les manuels scolaires chez CEC (en passant par toutes les lettres que j’ai échangées avec mes amis pendant mon adolescence), j’ai vraiment l’écriture dans mon ADN, je crois ! En plus de l’écriture, j’adore la campagne, la musique classique, le théâtre, le piano (même si je joue très mal), le jardinage, la généalogie, les documentaires, etc. Bref, j’aime toujours apprendre de nouvelles choses !
STAR MIAOU s’adresse principalement aux jeunes de 8 à 11 ans qui souhaitent découvrir l’univers de Star Wars… ou encore à leurs parents qui retrouveront avec plaisir les personnages de cette célèbre série, transposés dans un monde félin ! L’histoire, somme toute, est une parodie de Star Wars. Ceux qui connaissent cette série reconnaîtront le déroulement de l’action, tout en y remarquant certaines différences; après tout, il s’agit d’une interprétation humoristique, un peu à la manière de ce qu’a été le film Spaceballs (v.f. La folle histoire de l’espace) dans les années 1980. Évidemment, tout se passe dans un univers de chats; les protagonistes font tous partie de la race féline et certains traits caractéristiques de nos amis poilus se retrouvent dans STAR MIAOU, ce qui amène quelques situations cocasses !
Mon éditeur m’a approchée, car il souhaitait créer une série « parodies » basée sur Star Wars, mettant en scène des chats, et parce que tout le monde (enfin presque) aime les chats. Combiner les deux et en faire un livre humoristique destiné aux enfants ne pouvait être qu’un projet emballant, non ? Quoi qu’il en soit, j’ai pris un immense plaisir à composer STAR MIAOU 4.1… mais aussi les tomes suivants !
Sans être une fan finie de Star Wars (je suis plutôt une Trekkie !), je considère que je connaissais assez bien l’histoire avant de me lancer dans STAR MIAOU. Toutefois, je me suis quand même replongée dans le scénario et les dialogues, de manière à coller le plus fidèlement possible à la « réalité » tout en composant une histoire différente. Ensuite, il fallait trouver les noms des différents personnages, des noms qui rappelleraient à la fois les chats et Star Wars. Si certains d’entre eux me sont venus quasi instantanément, d’autres m’ont demandé plus de temps ! Bien qu’il s’agisse ici d’une version humoristique, le but était de faire connaître cette légendaire série et la transposer dans un monde félin, et non pas de garder les mêmes personnages et de leur faire vivre de toutes nouvelles aventures. Mais un jour, qui sait ?
Honnêtement, je n’ai pas vraiment compté; comme j’occupe déjà un emploi à temps plein, j’écrivais par petits bouts, et cette période s’est étalée sur plusieurs semaines. Je crois que si j’avais écrit STAR MIAOU 4.1 sans interruption, j’y aurais possiblement consacré une quarantaine, voire une cinquantaine d’heures en incluant la recherche et l’étude du scénario original.
OUI ! Je me suis rendu compte bien assez tôt que j’avais sous-estimé la tâche qui m’attendait, et qu’il est beaucoup plus facile de créer une histoire de toutes pièces que de partir d’un récit déjà existant et d’en faire une version jeunesse humoristique ! Toutefois, il y a quand même quelque chose de rassurant dans le fait de pouvoir se fier à une version déjà écrite, même si mon processus d’écriture a été fait dans le plus grand respect de l’œuvre originale de George Lucas. Ce n’est pas tous les jours qu’on peut parodier un si grand auteur et j’avais conscience qu’il s’agissait d’un gros morceau, étant donné le succès phénoménal des films. Car pour coller fidèlement à l’histoire, je devais respecter la séquence des événements le plus possible et ne pas trop déroger de l’action, sous peine de créer un récit complètement différent (ça aurait pu être chouette certes, mais ce n’était pas le but de cette série). À l’opposé, quand j’écris et que je crée une histoire et des personnages de A à Z, je n’ai pas ces balises qui me dictent de « rester dans le rang », je peux laisser libre cours à mon imagination et, ça aussi, c’est très bien !
STAR MIAOU est mon tout premier roman publié, donc je n’ai pas encore eu la chance de rencontrer mes lecteurs actuels et futurs ! Un salon du livre est selon moi le meilleur endroit pour aller à la rencontre de son lectorat et aussi, en tant qu’auteure, pour rencontrer ses pairs. J’adorais aller au Salon du livre de Montréal dans ma jeunesse : voir tous ces livres, tous ces auteurs et avoir la chance de leur parler… J’attendais toujours cette période de l’année avec fébrilité ! Rencontrer les lecteurs lors de séances de dédicaces dans les librairies est aussi un endroit privilégié et j’ai bien hâte de recueillir les impressions de mes lecteurs en personne !
Je ne peux pas vraiment dire qu’un auteur plus qu’un autre m’a poussée vers l’écriture, car du plus loin que je me souvienne j’ai toujours aimé écrire. D’ailleurs, dans mon album de finissants, il est écrit que je souhaite devenir une journaliste à sensations fortes ! Pour différentes raisons, j’ai préféré bifurquer vers la rédaction où je pouvais donner libre cours à ma créativité plutôt que d’opter pour la rigueur journalistique, les interviews et les reportages qui, malgré tout l’impact qu’ils peuvent avoir, sont somme toute éphémères contrairement à un livre qui, lui, peut résister au passage du temps. Qui se souvient des articles de journaux de Balzac ? Pourtant ses livres comme La comédie humaine ou La cousine Bette sont encore lus de nos jours. Je suis plutôt éclectique dans mes choix de lectures, et j’imagine que chacun de ces écrivains a façonné ma vie d’auteure : Jules Verne, Jane Austen, Lucy Maud Montgomery, Stephen King, Agop J. Hacikyan, Alexandre Dumas, Voltaire, J.R.R. Tolkien, Yves Thériault, Denis Monette, etc.
D’avoir confiance en eux et de persévérer; de garder en tête qu’il y a beaucoup d’appelés pour très peu d’élus et qu’un manuscrit refusé n’est pas automatiquement mauvais ! Il ne faut surtout pas se décourager si on essuie un refus; après tout, personne n’a voulu des manuscrits de George Lucas et de J.K. Rowling au départ… Écrire un roman n’est pas un concours de vitesse non plus, ce n’est pas un examen de fin d’année du secondaire lorsqu’on a un temps maximum pour écrire ! Il faut prendre son temps et, selon le type de roman écrit, ne pas avoir peur de faire des recherches, surtout s’il y a des éléments historiques dans le récit. Et amusez-vous ! L’écriture d’un roman ne devrait pas être une corvée, que ce soit en littérature jeunesse ou encore pour un roman grand public !
Merci Josée !!
]]>L'auteure Ericka Duflo se joint à notre belle équipe de créateurs et signe la création d'une nouvelle série à découvrir bientôt !
Née en Guadeloupe, Ericka a toujours été attirée par la mythologie, les contes et les légendes. C'est donc tout naturellement que cette amoureuse de la littérature fantastique se lance dans l'écriture. Après l'obtention d'un diplôme universitaire en économie puis en enseignement, elle s'initie à la rédaction web.
En 2016, sa première série, Métamorphose, publiée au Québec et en Europe devient un best-seller.
]]>Bienvenue dans l’univers coloré de Geneviève Guilbault, une auteure prolifique qui occupe une place de choix dans la littérature jeunesse. Née à Québec en 1978, Geneviève a toujours été une passionnée de lecture.
Forte de son expérience d’éducatrice en petite enfance, elle se consacre aujourd’hui pleinement à l’écriture. Polyvalente à souhait, elle écrit aussi pour les adultes et les adolescents. Elle a signé plusieurs séries best-sellers qui ravissent le cœur de ses lecteurs, tant au Québec qu’en Europe. C’est à Drummondville qu’elle a décidé de bâtir son nid avec son conjoint et ses enfants.
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Il n’y a pas que l'univers du jeu de société qui convient à ZOMBIE KIDZ ! La preuve? Le jeu de société au succès international sera très bientôt adapté en romans jeunesse ! Une série pour les 7 ans et plus.
La série est adaptée du très populaire jeu de société Zombie Kidz Évolution, édité par le Scorpion Masqué. Les lecteurs découvrent l’importance :
• du travail en équipe, de l’entraide et de la solidarité dans l’atteinte de meilleurs résultats;
• de l’école comme lieu de transmission de la connaissance et d’édification de la civilisation;
• de développer des stratégies afin d’atteindre un objectif prédéterminé, ce qui amène à réfléchir et à se distancier des réactions émotives.
ZOMBIE KIDZ - Une série de romans jeunesse !
Plusieurs valeurs sont abordées, dont l’estime de soi, l’acceptation des autres et de leurs différences, l’image corporelle, la maîtrise de soi, la confiance en soi, l’entraide, l’amitié, la solidarité et la débrouillardise. Finalement, un lexique explique des mots complexes, volontairement insérés pour mieux pimenter la lecture !
Offerte bientôt aux éditions Victor et Anaïs, l’œuvre jeunesse aura tout pour plaire: une intrigue habilement ficelée et une écriture énergique dans un univers unique.
Très attachée à cet univers, l'équipe du Scorpion Masqué était prêt à donner son avis sur le projet, mais souhaitait éviter de brimer le processus créatif de l'auteur Léon Leclerc et de son éditeur Christian Bougie.
Le premier tome sera disponible en librairie dès mars 2020.
L’éditeur, l'auteur et l'équipe du Scorpion Masqué caressent également l’idée de s’attaquer à un autre projet bientôt !! À suivre...
ZOMBIE KIDZ - Une série de romans jeunesse !
]]>Camille Laurent / CAM C'EST ELLE se joint à notre belle équipe de créateurs et signe la création d’une nouvelle série jeunesse !
Un autre projet super stimulant ! C’est une autre belle collaboration qui s’ajoute à notre portfolio.
Écoutez Camille en parler sur sa chaîne !
Camille Laurent / CAM C'EST ELLE se joint à notre équipe!
Camille Laurent alias CAM C’EST ELLE, Française expatriée à Montréal depuis 5 ans, vidéaste, grande amatrice de balle molle, dévoreuse de poutine et fan de sumo, elle crée sa chaîne YouTube en juin 2016 sous le nom de « CAM C’EST ELLE ».
Depuis ce jour, elle publie au moins une vidéo chaque samedi pour ses 40 000 abonnés.
Camille Laurent / CAM C'EST ELLE se joint à notre équipe!
]]>Marie-Hélène Girard / Tellement Mom se joint à notre belle équipe de créateurs et signe la création d’une nouvelle série jeunesse !
On est super contents de travailler avec Marie-Hélène ! Le projet est super stimulant, c’est une autre belle collaboration qui s’ajoute à notre portfolio.
Écoutez Marie-Hélène en parler sur sa chaîne !
À l’affut des nouveautés, elle partage de nombreux trucs et trouvailles pour faciliter la vie et n’hésite pas à recommander ses coups de coeur.
Marie-Hélène Girard, Tellement Mom se joint à notre équipe !
Marie-Hélène Girard, Tellement Mom se joint à notre équipe !
]]>Vous avez un enfant qui a de la difficulté à maitriser sa colère et ses émotions ?
Le livre de la Colère !
La communication est difficile ? Sachez qu'il est tout à fait normal d’être fâché envers certaines situations. La clé du succès réside dans la manière de vivre ses émotions et de les exprimer. Le livre de la Colère !
Voici un livre pour aider les petits et grands à exprimer leur colère ! Un livre pour aborder le thème de la colère avec les enfants.
Lorsqu'un enfant est en colère, il est important de lui proposer différentes alternatives pour gérer ses émotions. Avec LE LIVRE DE LA COLÈRE, on lui propose d'exprimer et de dessiner sa colère.
Barbouille, dessine, déchire la page, piétine-le, crie-lui après, mais libère-toi de cette rage intérieure !
On parle ici d'une technique de retour au calme qu’apprendront facilement les enfants lors d'une tempête émotionnelle. Les colères, ça peut faire du bien quand quelque chose n’est pas juste, quand ça ne va pas du tout, quand on n’est pas content.
Et quand c’est fini, ça va mieux. On se sent plus fort !
Depuis presque un siècle, le dessin est utilisé dans l’approche thérapeutique avec des enfants. Le dessin devient notamment une évidence dans les cas où l’enfant parle peu, ou pas du tout par exemple.
L’enfant (3 à 12 ans environ) est souvent dans l’incapacité de décrire par le langage ce qui se passe en lui, ceci est d’autant plus vrai quand l'enfant est très jeune. Il n’est donc pas possible d’utiliser la parole comme on le fait avec un adulte.
Le dessin a également une fonction de libération, une sorte d’extraversion médiatrice communicable à autrui. Ça peut permettre à l’enfant de commencer à mettre à distance son vécu, de le rendre plus objectif et progressivement d’en parler à un parent.
Le livre de la Colère !
Barbouille, dessine, déchire la page, piétine-le, crie-lui après, mais libère-toi de cette rage intérieure !
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